Algie Vasculaire de la Face

L'armée française a ainsi expérimenté pendant près d'un an l'acide cyanhydrique, dont la synthèse ne nécessitait pas de dichlore. Les gaz de combat de la Première Guerre mondiale regroupaient une vaste gamme de composés toxiques allant du gaz lacrymogène relativement bénin aux mortels phosgène et dichlore (appelé bertholite par l'armée française) en passant par le gaz moutarde. Le 22 avril 1915, l'armée allemande dispose de 168 tonnes de chlore déployées dans 5 730 bonbonnes en face de Langemark-Poelkapelle, au nord d'Ypres. D'après une lettre du major Karl von Zingler, la première attaque au gaz chloré aurait eu lieu le 2 janvier 1915 : « Sur les autres théâtres militaires, cela ne va pas mieux et il a été dit que notre chlore était très efficace. Les bandages étaient imbibés d'eau pour apporter un soulagement rudimentaire de la douleur le temps que les blessés atteignent une station médicale mieux équipée. La facilité à le produire industriellement : les premiers gaz mortels utilisés étaient faits à partir d'halogènes (chlore, brome, iode) pour la production desquels l'Allemagne jouissait d'un quasi-monopole européen en 1914. Les Alliés ont ainsi dû mettre en place une industrie chimique compétitive rapidement, et ont dans un premier temps cherché à se passer du chlore.

Dans leur livre, Beauvois et Joule expliquent les résultats de leur expérience sur la manière d'influencer les employés d'un hôpital à réduire leur consommation d'électricité à long terme. Au niveau des résultats, pour la condition contrôle (A) seulement 22,8 % des ménagères ont laissé rentrer les enquêteurs dans leur logement contre 52,8 % dans la condition expérimentale où un coup de téléphone était passé avant. La seconde condition (contrôle) consistait simplement à présenter les deux cookies pour 75 centimes. Bien que la majorité des combattants de la Seconde Guerre mondiale aient possédé des stocks d'armes chimiques, ils ne les ont pas utilisés. Cela explique en partie pourquoi Hitler a toujours refusé l'utilisation de gaz de combat sur les champs de bataille de la Seconde Guerre mondiale. Immédiatement après l'utilisation de chlore par les Allemands, des instructions sont transmises aux troupes alliées de placer les mouchoirs ou les vêtements sur la bouche.

Une étude illustrant ce concept qui fut par ailleurs de nombreuses fois confirmée par la littérature actuelle est celle de Joule et al. Une cloche était souvent utilisée pour prévenir de l'arrivée du gaz. Les gaz de combat ne peuvent pas être utilisés à n'importe quel moment, et ce quels que soient les composés choisis. Le masque à gaz P britannique déployé à ce moment, imprégné de phénol est moyennement efficace contre le phosgène. Envoyer le gaz à l'aide d'obus d'artillerie aurait permis de résoudre la plupart des problèmes posés par les bonbonnes. L'expérience de Milgram fut reprise dans le cadre d'un jeu télévisé par Jean-Léon Beauvois et son équipe. L'automédication, dont le cadre n'est parfois plus légal suivant les usages qui sont faits des produits codéinés, et la substitution quand elle est engagée, ne favorisent parfois plus que la molécule opiacée en lieu des traitements psychiatriques n'apportant pas de meilleure réponse sur les symptômes.

Que ce soit dans un cadre thérapeutique ou non, on constate que les massages ne sont plus pratiqués seulement par des masseurs-kinésithérapeutes. Les campagnes d'information, diffusées par la radio et la presse, destinées à les probenecid 500mg bon marché convaincre de consommer des abats, restaient inefficaces. Ils ont donc premièrement posé une demande coûteuse en investissement qui consistait à s'occuper deux heures par semaine pendant deux ans des jeunes délinquants. Pour le gaz moutarde qui pouvait causer de sévères lésions par simple contact avec la peau, aucune contre-mesure ne fut trouvée pendant la guerre. Le gaz moutarde quant à lui se condense la nuit sous l'effet des températures plus basses pour se vaporiser de nouveau le lendemain sous l'effet de ditropan génériques la chaleur : il était donc actif et dangereux pendant plusieurs jours. L'une des victimes des gaz les plus célèbres fut Adolf Hitler, qui fut rendu temporairement aveugle par le gaz moutarde et fut soigné à Wervik.